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Quimper, les couleurs du temps
Sommaire
- 1- Une ville et ses habitants révélés par la couleur
- 2- Costumes et portraits
- 3- Costumes et portraits : album de famille
- 4- Bienvenus à l'école !
- 5- Quimper, ville de fêtes
- 6- Quimper, ville de fêtes : le champ de courses
- 7- Quimper, ville de fêtes
- 8- Quimper, ville de fêtes
- 9- Quimper manifeste
- 10- Travail, loisirs et vie quotidienne
- 11- Travail, loisirs et vie quotidienne
- 12- Travail, loisirs et vie quotidienne :Les halles et le marché
- 13- Travail, loisirs et vie quotidienne
- 14- Remerciements et crédits
- 15- Les ressources
Une ville et ses habitants révélés par la couleur
Les collections iconographiques de la ville de Quimper, riches de milliers de clichés, constituent un matériel historique habituellement saturé de nuances de gris. Ces scènes et ces sujets photographiées en noir et blanc ont été amputés de leur couleur originale par la technique employée alors.
Un procédé informatique, basé sur l’intelligence artificielle, a été utilisé pour coloriser les clichés des Archives municipales. Ce même procédé a été utilisé pour générer la première œuvres d'art produites par un algorithme. Le logiciel n’a toutefois pas la prétention de donner des résultats parfaits.
La couleur restitue force et émotion à ces images que le noir et blanc maintenait à distance. Elle nous permet d’acquérir une connaissance renouvelée de cette société disparue qui semble rejoindre à nouveau notre fragile temporalité. La profondeur du champ de ces photographies colorisées s’en trouve modifiée et élargie. Tout à coup, des détails infimes, des sourires muets, les étoffes des costumes somptueux ou humbles, les regards des sujets captés un instant par l’œil du photographe, reprennent vie, deviennent intelligibles et nous atteignent. Ils nous regardent et nous les voyons. Nous croyons ainsi pouvoir toucher les sentiments qui habitaient ces témoins souvent anonymes, depuis longtemps disparus, de l’histoire quimpéroise petite ou grande et nous relier à eux.
Les clichés retenus dans le cadre de cette exposition mettent en lumière les événements, les mutations, les réalités historiques, culturelles, économiques, sociales, que connait la ville au cours des XIXe et XXe siècle.
Costumes et portraits
Costumes et portraits
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Marie
Guirriec, la première Reine de Cornouaille
Marie
Guirriec, la première Reine de Cornouaille
C’est à l’initiative de Louis Le Bourhis que les premières grandes fêtes bretonnes voient le jour à Quimper. Il organise dès 1923 la première édition des « fêtes des Reines ». La première Reine de Cornouaille est la Quimpéroise Marie Guirriec.
Arch. Mun. Quimper, 3 Fi 69-1, photographie Le Grand, 1923.
Enfants en costumes
Enfants en costumes
À gauche, le jeune orphelin de guerre, Théodore Hervé, en habits de marin. Ce cliché a été réalisé à Quimper, en 1919, par la Croix Rouge américaine.
Library of Congress, American National Red Cross photograph collection, 1919.
À droite : Un jeune quimpérois, déguisé en cowboy, à l’occasion des fêtes des Cavalcades de Quimper de 1921. Ces défilés pittoresques et carnavalesques étaient composés de chars et de voitures chargés de décors, leurs passagers déguisés selon des thématiques particulières.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, collection Docteur A. Beaugé, 1921.
Jeune femme en costume de Quimper
Jeune femme en costume de Quimper
Le costume breton ici présenté particulièrement somptueux et riche de ses broderies, témoigne de l’aisance fièrement affichée de cette jeune femme de la région quimpéroise. De par leur costume, les personnes montrent ainsi leur appartenance à une communauté territoriale, économique, culturelle et le rang de fortune qu’elles y occupent.
Arch. Mun. Quimper, 25 Fi 48, photographie Villard, vers 1865-1870.
Jeune femme et jeune fille en costume, région de Fouesnant
Cet émouvant cliché de deux jeunes femmes - une mère et son enfant ? - portant la coiffe de la région de Fouesnant ou Rosporden est dû au talent du photographe Levot qui réalise quelques magnifiques clichés pendant le Second Empire à Quimper où il possède alors un atelier.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. J. Bodollec, photographie Levot, vers 1860.
Costumes et portraits : album de famille
Costumes et portraits : album de famille
Voici au centre le Baron Richard, préfet de Quimper sous le Second Empire. D’origine toulousaine, Charles Victor Richard a la spécificité unique d’avoir réalisé l’ensemble de sa carrière préfectorale dans le Finistère. Diplômé de l’École des Chartes, il exerce comme conservateur des archives de la ville de Rouen lorsqu’il est nommé, après la révolution de 1848, sous-préfet de Châteaulin puis de Morlaix. Il est ensuite promu préfet du Finistère. Il le restera pendant 17 ans - un record de longévité !
Le voici entouré de deux dames de la bourgeoisie du chef-lieu du Finistère. Quimper attire en effet une population aisée constituée de commerçants, de propriétaires terriens, de hauts fonctionnaires, civils et militaires, qui tiennent le haut du pavé quimpérois.
Bienvenus à l'école !
Bienvenus à l'école !
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La classe de Mademoiselle Germaine Oudinet
Nous sommes en 1908 dans la classe des filles du cours privé Saint-Mathieu à Quimper.
Au 1er rang de gauche à droite : inconnue, Annick Meudec, Cécile Drillien, Charlotte Guellec.
Au second rang : Paulette Carichon, Caroline Tanguy, Marie Thérèse Mauduit.
Les canotiers suspendus à l’arrière signalent sans doute l’arrivée du printemps et la fin prochaine des études. Les élèves appartiennent pour la plupart à des familles aisées de commerçants de la ville.
Arch. Mun. Quimper, 43 Fi 2, coll. A. Le Grand, photographie Villard, 1908.
La classe de Mademoiselle Courgeon au cours privé Saint-Mathieu
Le 10 juin 1910, les grandes élèves de 1ère se préparent aux épreuves du brevet élémentaire.
À partir du 1er rang : Marguerite Quiniou, Germaine Urcun, Louise Tanguy, deux autres élèves puis Jeanne Malin, Jeanne Malinjoud, Antoinette Blanchard.
Arch. Mun. Quimper, 43 Fi 1, coll. A. Le Grand,photographie Villard, 1910.
Une classe d’élèves institutrices à l’École Normale
Nous sommes en 1925, près d’une cinquantaine d’étudiantes, une promotion, se pressent dans la grande salle de cours de l’École Normale avec leurs enseignantes. Notez l’absence générale de tenues ou coiffes bretonnes et les coupes résolument modernes des futures institutrices.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. J. Pouliquen, photographie Villard, 1925.
Les orphelines de la providence aux travaux de couture
L’orphelinat de La Providence est fondé pour protéger et recevoir les jeunes filles légitimes et orphelines et leur fournir une éducation comprenant l’instruction morale et religieuse, la lecture, un peu d’écriture, mais aussi des savoirs plus pratiques (couture, broderie, repassage…). Nombre de ces orphelines choisiront d’entrer au noviciat afin de devenir elles aussi religieuses. D’autres quitteront ce foyer de substitution pour un emploi de domestique,d’artisane ou s’établir simple ménagère une fois mariée. Les jeunes filles, vêtues de robes uniformes, aux coupes de cheveux taillées à la garçonne, travaillent dans un ouvroir, en silence, sous la stricte surveillance des religieuses de l’Adoration perpétuelle du Saint Sacrement qui dirigent l’institution.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. de La Providence, photographie Villard, vers 1925. Quimper, ville de fêtes
Quimper, ville de fêtes
La fête des Gueux dans les bois de Kérogan
Les Quimpérois n’ayant pas les ressources financières pour aller jusqu’à Bénodet ou Fouesnant prirent l’habitude de promenades et de pique-niques dans les bois bordant la baie de Kerogan. Alors que les fêtes des Cavalcades étaient réservées aux classes les plus aisées, les habitués de Kerogan organisèrent à partir de 1921 leur propre fête, plus
populaire sous le nom de Fête des Gueux, titre de roture qu’ils portèrent fièrement pendant près de 30 ans.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. S. Degouvestz et coll. D. Breton, 1923.
Quimper, ville de fêtes : le champ de courses
Quimper, ville de fêtes : le champ de courses
Quimper figure parmi les toutes premières villes du Finistère organisatrices de concours hippiques. Les amateurs de chevaux viennent de loin pour assister aux courses sur le désormais célèbre hippodrome de Cuzon à partir de 1841. Au début du XXe siècle, les courses de chevaux se déroulent désormais au printemps sur le Champ de Bataille transformé pour l'occasion en champ de courses, choisi comme site plus proche de la gare.
Le comité local des courses se charge des nombreux travaux de transformation de la place en champ de courses. Du gazon est semé et une piste est tracée pour les courses d'attelages et de trot. Des haies et barrières avec ou sans rivière sont quant à elles dédiées au saut.
Quimper, ville de fêtes
Quimper, ville de fêtes
Fêtes du centenaire de l’orphelinat de La Providence
L’histoire de la congrégation de droit pontifical l’Adoration perpétuelle du Saint Sacrement, née en 1836, à Quimper s’est longtemps confondue avec celle de l’orphelinat de la Providence, probablement le plus ancien du Finistère. L’œuvre est fondée par le Père François Langrez, ami de Jean-Marie de Lamenais, pour protéger et recevoir les jeunes filles orphelines. En 1936 d’importantes fêtes et processions célèbrent le centenaire de la création de l’établissement. On remarquera que dans cette foule, les coiffes et costumes bretons sont devenus l’exception. La plupart des jeunes femmes de Quimper adopte dès cette époque la mode citadine.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. de La Providence, photographie Villard, 1936.
Quimper, ville de fêtes
Quimper, ville de fêtes
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Inauguration du buste d’Anatole Le Braz, écrivain et poète
Le 11 juillet 1931 est inauguré en grand pompe, le buste d’Anatole Le Braz au lycée de La Tour d’Auvergne de Quimper. Anatole Le Braz y avait enseigné dès 1886. Les discours sont prononcés dans la cour de l’établissement avec le décorum de la IIIe République.
Arch. Mun. Quimper, 43 Fi 3, coll. A. Le Grand, photographie Villard, 1931.
La fête de la duchesse Anne
Le comité des fêtes eut l’heureuse idée de reconstituer à partir de 1925 la visite que fit à Quimper en 1506 Anne, dernière duchesse des Bretons et reine de France. Le prestigieux landau ducal fit halte devant la maison du poète Le Guyader et la duchesse de dix-neuf printemps en descendit, suivie de ses demoiselles d’atours afin d’embrasser l’ami octogénaire des Muses. À la Tourbie un petit Breton entouré d’une foule considérable remit à la souveraine les clefs de la cité de Saint Corentin. La photographie présente ici les principaux organisateurs des festivités entourant la duchesse d’un jour dans ses atours médiévaux. On reconnait notamment, le barde Taldir (Jaffrenou), debout à
gauche, derrière la duchesse en costume breton.
Arch. Mun. Quimper, 3 Fi 17-2, photographie Villard, 1925
Les fêtes des Reines de Cornouaille
Marinette Viennot reine de Châteaulin vient d'être élue parmi une centaine d’autres candidates le 24 juillet 1949, année du grand redémarrage des fêtes.
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. G. Liot, photographie Le Grand, 1949.
Sur le Champ de Bataille, un jour de fête foraine
Voici la grande fête de l’été 1895. C’est le temps des militaires aux uniformes chamarrés, celui des canotiers et des dames élégantes à ombrelle en promenade sur le Champ de Bataille et des bretonnes en coiffes et tulles brodés. Théâtre, cirque de singes, cidre et vin bon marchés s’offrent à ceux qui le veulent bien…
Arch. Mun. Quimper, 9 Fi, coll. S. Degouvestz, 1895.
Quimper manifeste
Quimper manifeste
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La Grande manifestation du 18 août 1902
L’application de la loi de 1901 sur les associations à la suite de laquelle les associations et les congrégations non autorisées sont désormais dissoutes de plein droit et leurs biens soumis à liquidation est l’une des étapes clés de l’histoire de la séparation des Églises et de l’État. À Quimper, les manifestations du camp clérical se multiplient, orchestrées essentiellement par des membres de la noblesse et de la riche bourgeoisie catholique, des propriétaires fonciers et des industriels locaux. Certains d’entre eux menacent de renvoyer les ouvriers qui refuseraient de manifester. La plus importante de ces manifestations rassemble plus de 12.0000 personnes le 18 août 1902 à Quimper.
Arch. Mun. Quimper, coll. de la Bibliothèque diocésaine, photographie Villard, 1902.
La manifestation paysanne du 2 février 1936
Les années 1930, marquées par la crise du monde agricole finistérien, mobilisent de grands rassemblements paysans. Celui du 29 janvier 1933 attire à Quimper près de 15 000 agriculteurs. Quimper connaît aussi, le 2 février 1936, des actions en rébellion menés par les Comités de défense paysanne ou « chemises vertes » par référence à la couleur de l’uniforme de certains membres de ce mouvement corporatiste et largement antirépublicain. Sur la photographie, la manifestation organisée un jour de foire heurte violemment les gardes mobiles en haut de la rue des Douves.
Arch Mun. Quimper, 3 Fi 77-28, 1936.
Travail, loisirs et vie quotidienne
Travail, loisirs et vie quotidienne
Quimper, quartier de Locmaria, port de pêche
On l’oublie trop souvent - ce cliché magnifique nous le rappelle - l’Odet n’est pas seulement la plus jolie rivière de France. Elle irrigue aussi une ville dotée d’un port de commerce et d’un port de pêche. En 1903, à l’époque de la crise de la sardine, on dénombre encore 77 marins pêcheurs quimpérois. Les équipages des bateaux de pêche sont composés généralement de 3 matelots et d’un patron. Ces pêcheurs « senneurs » naviguent sur l’Odet avec des filets d’une longueur pouvant atteindre 200 mètres.
Les pêcheurs barrent avec leurs filets tendus dans les anses de la rivière la route aux poissons les plus estimés comme le saumon. Le port arme aussi six à huit anciennes grandes chaloupes sardinières qui exploitent les bancs de sable de la baie de Kerogan et pratiquent une pêche occasionnelle.
Arch Mun. Quimper, 9 Fi, coll. S. Degouvestz, 1895.
Travail, loisirs et vie quotidienne
Travail, loisirs et vie quotidienne
Les ouvrières des ateliers de confection Le Glazic
Situés à Penhars, dans le quartier du Pontigou, ces ateliers emploient une main d’œuvre ouvrière, composée de couturières souvent issue des campagnes environnantes. On notera les directives patronales affichées aux murs.
Arch. Mun. Quimper, 24 Fi 1, coll. Mémoire de Penhars, photographie Villard, 1930.
Travail, loisirs et vie quotidienne :
Les halles et le marché
Travail, loisirs et vie quotidienne :
Les halles et le marché
Le ventre de Quimper : les halles Saint François en 1968
En 1839, le plan d’urbanisme de Quimper prévoit la construction d’un marché couvert (halles), à l’emplacement des ruines de la cour, d’une partie du cimetière et du collatéral de l’ancienne église du couvent des Cordeliers. Les halles couvertes sont construites en 1846-1847. Elles restent presque inchangées et en activité jusqu’à l’incendie qui les détruits dans la nuit du 27-28 août 1976. De nouvelles halles sont alors reconstruites au même emplacement et inaugurées en 1979.
Arch Mun. Quimper, 3 Fi 25-09, photographie Le Grand, 1968.
Le marché place Saint-Corentin
À la fin du XIXe siècle, on assiste à une certaine spécialisation des marchés quimpérois. La place de la Tourbie reste consacrée au marché aux bestiaux. En descendant la rue Élie Fréron, le visiteur débouche sur la place Saint-Corentin très animée elle aussi. Les métiers de toutes sortes s’y côtoient : aiguiseurs de couteaux, petits sabotiers, potiers, marchandes de faïences, drapiers et chiffonniers s’installent autour de la statue du docteur Laennec devant la cathédrale et le café du Finistère. Les laitières se retrouvent quant à elles sur la place Médard et les cultivateurs de pommes de terre sur la place Saint-Mathieu.
Arch. Mun. Quimper, 5 Fi 1, coll. V. Allard, vers 1895
Travail, loisirs et vie quotidienne
Travail, loisirs et vie quotidienne
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L’équipe de football du Likès
Fondé en 1838, le Likès accueille alors 60 élèves en deux classes. À la suite de la loi de 1905, les frères des écoles chrétiennes se soumettent à l’arrêté de fermeture les concernant. Le 18 mai 1907, l’établissement est vendu aux enchères et est acheté par Eugène Bolloré, président de l’amicale des anciens élèves du Likès pour la somme de 63 000 francs. En 1919, le Likès retrouve sa fonction d’établissement d’enseignement, Eugène Bolloré ayant transmis la propriété des lieux à la « société anonyme du Likès ».
C’est alors que le frère François Stéphan crée une équipe de football s’inspirant du modèle de l’équipe de l’Etoile Saint-Vincent née en 1908 au petit séminaire. L’équipe première de l’Etoile Sainte-Marie du Likès, ici en 1927, rencontre généralement les équipes concurrentes d’autres établissements d’enseignements privés du Finistère.
Arch. Mun. Quimper, 4 Fi 573, 1927
Le stand des crêpes dentelles Tanguy à la foire exposition de Quimper
Si Quimper doit beaucoup à la faïence, les crêpes dentelles ont également conquis une large clientèle internationale depuis l’invention par Katell Cornic de ce produit typiquement quimpérois.
Arch Mun. Quimper, 3 Fi 61-16, photographie Le Grand, vers 1950
Remerciements et crédits
Les Archives tiennent à remercier pour leur aide et leur collaboration la Maison du Patrimoine, le Service reprographie et la Direction Communautaire des Systèmes d’Information.
Que soient également remerciés les donateurs de collections privées pour leur contribution.
Conception et textes : Archives municipales et communautaires de Quimper
Numérisation des documents : Archives municipales et communautaires de Quimper
