JACOB Max , DTH/204

DTH/204  

- Max Jacob, né le 12 juillet 1876 à Quimper et mort le 5 mars 1944 à Drancy, est un poète moderniste et romancier français.

Voir aussi l'article du "Grenier de la Mémoire" en cliquant sur le lien suivant :

Les ancêtres de Max Jacob à travers les fonds d'archives de la ville de Quimper

La Tour d'Auvergne , DTH/221

DTH/221  

- 1 : Histoire sommaire de la caserne de la Tour d'Auvergne + maquette de l'exposition préparée par le service de l'urbanisme (Février 1983)

- 2 : La Tour d'Auvergne (1743 - 1800) : un héros du Poher pour l'Europe

LE GRAND Alain , DTH/237

DTH/237  

- Historien quimpérois, membre correspondant du comité départemental de recherches sur l'histoire de la seconde guerre mondiale.

voir assi le fonds Alain LE GRAND  en série J - Archives d'origines privées - 22 J 1 à 22 J 292

 

 

LE GUENNEC Louis , DTH/238

DTH/238  

- Historien et archéologue - 1878 - 1935

Voir aussi le fonds en série J Archives d'origines privées - 16 J QUI 1 à 81

Voir aussi l'article du "Grenier de la Mémoire" en cliquant sur le lien suivant :

Louis Le Guennec ou la Bretagne enchantée

LE GUYADER Frédéric , DTH/239

DTH/239  

Voir aussi l'article de "Trésors d'archives, un document, une histoire" en cliquant sur le lien suivant :

Frédéric Le Guyader, dramaturge, poète et bibliothécaire (1847-1926)

DE SILGUY Jean Marie François Xavier , DTH/336

DTH/336  

- Le comte Jean Marie François Xavier de Silguy, né au château du Bot à Quimerc'h le 24 avril 1785 et mort à Quimper le 10 novembre 1864, est un ingénieur français et le fondateur du musée des beaux-arts de Quimper.

BETTIGNIES Louise de , DTH/388

DTH/388  

- Agent secret français qui espionna, sous le pseudonyme d'Alice Dubois, pour le compte de l'armée britannique durant la Première Guerre mondiale.

THEPOT Yves , DTH/478

DTH/478  

- Dernier maire d'Ergué-Armel et  premier maire du Grand Quimper.

-  Maire d'Ergué-Armel de 1945 à 1959. Issu d'un milieu modeste et ayant arrêté ses études au niveau du brevet, il a été maire d'Ergué-Armel, une commune rurale, de 1945 à 1959. Il a, au cours de son mandat de maire de Quimper, avec l'aide de son adjoint Léon Goraguer, lancé la construction de nombreux établissements scolaires, dont l'école de Pennanguer, le lycée de Cornouaille, le collège Max-Jacob et le lycée technique d'Ergué-Armel qui porte son nom.

JACOB Max (Varia) , DTH/596

DTH/596  

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Les ancêtres de Max Jacob à travers les fonds d'archives de la ville de Quimper

LE NOBLETZ Dom Michel , DTH/767

DTH/767  

- Michel Le Nobletz est une figure majeure de l'histoire du diocèse de Quimper et Léon. Né à Plouguerneau en 1577, il est ordonné prêtre en 1607 pour le diocèse de Léon après de brillantes études de théologie. Dès 1608, il missionne dans le diocèse de Tréguier et de Léon à partir de Morlaix puis du Conquet, avant d'aller en Cornouaille, d'abord à Quimper en 1614, puis à Douarnenez de 1607 à 1640.

TROMEL Marie , DTH/818

DTH/818  

- Marie-Louise Tromel, dite Marion du Faouët ou Marie Finefont, née le 6 mai 1717 au Faouët, est la chef d'une troupe de brigands qui sévit en Cornouaille. Elle fut pendue le 2 août 1755 sur la place Saint-Corentin à Quimper.

LE BOURHIS Louis , DTH/901

DTH/901  

- Louis Le Bourhis, né le 21 avril 1880 à Elliant et mort en 1955, est un propriétaire de cafés et de cinémas français, dans le Sud du Finistère. Il est connu pour avoir été à l'origine des grandes fêtes d'été de Quimper, dont le nom le plus connu est Festival de Cornouaille, appelé depuis 2010, Le Cornouaille.

DOMERGUE Jacqueline Marie , DTH/929

DTH/929  

Jacqueline Domergue, dite Jaïc, voit le jour le 8 septembre 1924 à Ismaïlia (Égypte).

Décédée le 29 novembre 1957 à L'Arba en Algérie.

Infirmière pilote secouriste de l'air.

CAMBRY Jacques , DTH/960

DTH/960  

- Né à Lorient en 1749 d'un père constructeur de navires à la Compagnie des Indes, Cambry voyage en Europe et à Saint-Domingue, publie ses premiers écrits, se fait précepteur des enfants de la famille Dodun, puis embrasse la cause de la Révolution comme assesseur du juge de paix de Lorient, puis procureur de la Commune de Lorient en 1792. Installé à Quimperlé en 1793, il s'implique dans la révolte "fédéraliste", mais entre sous la Terreur au comité de surveillance de Quimperlé, puis est nommé président du district. Administrateur du département, il dresse le Catalogue des objets échappés au Vandalisme (1795) puis le Voyage dans le Finistère (1799). Préfet de l'Oise en 1800-1802, Cambry participe en 1805 à la fondation de l'Académie Celtique et meurt en 1807 à Paris.

LE DOUGET Annick , DTH/996

DTH/996  

- Annick Le Douget est greffière au tribunal de Quimper, elle a obtenue son doctorat à 58 ans (Université de Bretagne Occidentale). Elle est chercheuse associée au Centre de Recherche Bretonne et Celtique (CRBC) Ses thèmes de recherche portent sur : - Histoire de la violence et des déviances dans le monde rural au XIXe siècle - Histoire de la criminalité et des peines au XIXe siècle - Acculturation judiciaire de la société bretonne - Histoire des mentalités : femmes et familles de la société rurale finistérienne au XIXe siècle

Photographie - Photographes , DTH/1038

DTH/1038  

- Voir aussi l'article du "Grenier de la Mémoire" en cliquant sur le lien suivant : 

Peindre la lumière...Invention de la photographie, origines et premiers ateliers quimpérois

CARNE Louis De , DTH/1088

DTH/1088  

- Louis de Carné-Marcein est un enfant de la Cornouaille, issu d'une ancienne famille de Bretagne. Il naît à Quimper le 17 février 1804 et sera tour à tour diplomate, avocat, créateur de journaux, homme politique, historien, romancier et académicien.

Voir aussi l'article de "Trésors d'archives, un document, une histoire" en cliquant sur le lien suivant :

Louis de Carné-Marcein, l'immortel du fauteuil XII

MALIVEL Jeanne , DTH/1145

DTH/1145  

JEANNE MALIVEL [ 1895-1926 ]

Née à Loudéac, dans une famille catholique de négociants ouverts à la culture, elle fait ses études secondaires à Rennes où, manifestement douée pour le dessin, elle suit les cours de Louise Gicquel, peintre.

A 19 ans elle prépare et réussit le concours d'entrée aux Beaux-Arts de Paris.

La guerre de 1914 interrompt ses études et l'oblige à revenir à Loudéac. Elle y est infirmière bénévole dans un hôpital auxiliaire où elle croque les blessés dans ses nombreux carnets de dessin.

Elle repasse brillamment le concours des Beaux Arts de Paris (4ème) en 1918, partage son atelier de Montparnasse avec une sculptrice et une maître verrier et participe à la Guilde Notre Dame et aux ateliers d'Art Sacré de Maurice Denis.

Elle passe de plus en plus temps à se documenter sur l'histoire et l'art celtiques.

Malgré d'intéressantes propositions à Paris, Jeanne choisit de retourner « vivre et travailler au pays» et est nommée professeur aux Beaux-Arts de Rennes en 1921.

Elle illustre l' Histoire de notre Bretagne de 74 bois gravés, dont certains sont exposés à New-York.

Elle fonde le mouvement artistique Ar Seiz Breur, avec lequel elle conçoit la salle de l'Osté pour l'exposition internationale des Arts Décoratifs de 1925 à Paris.

Pendant les 10 ans de sa courte carrière, Jeanne Malivel met son talent au service de la Bretagne.

Elle contribue au renouveau de l'expression artistique bretonne dans de nombreux domaines : gravure sur bois en première place, mais aussi mobilier, faïence, tissus, broderie, vitraux, peinture, aquarelle et dessin.

Ses compositions épurées sont à la fois modernes et chargées d'histoire, donnant une image forte des héros, saints, batailles, événements et personnages, ainsi que des paysages, costumes et objets.

Sensible à la cause des femmes, elle ambitionne de retenir au pays les jeunes bretonnes émigrant à Paris.

En développant un artisanat breton elle veut à la fois restaurer des savoir-faire locaux et introduire dans les foyers des objets beaux, utiles et de couleurs gaies.

Jeanne épouse Maurice Jung en 1925 et s'installe à Vitré.

L'année suivante, à 31 ans, enceinte et malade, elle décède à Rennes.

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