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Communauté des dames Cordelières , GG 3

GG 3 , 1745  

Communauté des dames Cordelières : Nomination d'un économe pour l'administration des biens, revenus, fruits et droits temporels du monastère des religieuses cordelières de Quimper: Extrait des délibérations de la communauté religieuse du 6 avril 1745, signée Auguste François Hannibal, évêque de Quimper.

Communauté des dames Cordelières , GG 4

GG 4 , 1754  

Communauté des dames Cordelièresde Quimper : Mémoire concernant la situation des biens de la communauté établie à Quimper depuis 1633 et supprimée par arrêtés du conseil de 1742 et 1746.

Culte catholique, Communautés religieuses, dossiers individuels des congrégations : Congrégation des Dames de Sainte Ursule (Ursulines) (1790-1857) , 1P/QUI/23

1P/QUI/23 , 1790-1857  

Inventaire des titres et papiers des dames Ursulines (1790), recensement nominatif des religieuses (1791), procès verbal d'élection de la Supérieure (1791), correspondances demande d'autorisation, rapport et état statistique La fondation de la communauté des Ursulines remonte au 23 juin 1623. Les 40 religieuses de la communauté sont expulsées en 1794. Elles seront néanmoins employées pour donner des soins dans les hôpitaux de Quimper. Elles se reforment en congrégation vers 1806 et instruisent les jeunes filles pauvres. En 1818, elles sont établies dans deux maisons contiguës de la rue Verdelet, achetées en 1805 et 1808. Vers la même époque elles reçoivent une cinquantaine d'élèves. Un autre groupe d'Ursulines dites " parisiennes " était également organisé et occupait une maison louée rue du Collège. Elles y recevaientt près de 100 élèves dont 80 payants. La communauté se compose traditionnellement de deux groupes de religieuses, les sœurs assermentées et les autres. La congrégation des Ursulines est finalement autorisée par ordonnance royale du 19 juillet 1826. En 1850 les Ursulines font l'acquisition de deux terrains appartenant à la ville de Quimper donnant sur la rue des Douves. Au 19ème siècle les religieuses enseignent également dans une école libre. En 1880 la communauté compte 29 religieuses. La communauté des Ursulines est finalement expulsée le 6 septembre 1905.

Culte catholique, Communautés religieuses, dossiers individuels des congrégations : Congrégation des Dames Charitables de la Visitation de Sainte-Marie (ordre de Saint-François de Sales) (1807) , 1P/QUI/28

1P/QUI/28 , 1807  

Etat statistique, correspondance Cette congrégation des Dames charitables ayant pour but l'instruction des filles s'établit vers 1810 dans l'ancienne maison des Capucins, propriété de Mlle de Saint Pern. Une douzaine de religieuses y vivent. La congrégation obtient un décret d'autorisation provisoire en 1806. En 1807 la communauté comptait 21 sœurs. Mais elle ne recevait à cette date qu'un dizaine d'élèves.

Culte catholique, Communautés religieuses, dossiers individuels des congrégations : Congrégation des Dames du Sacré Cœur de Jésus (dite de l'instruction chrétienne) (1807-1811) , 1P/QUI/31

1P/QUI/31 , 1807-1811  

Etat statistique, correspondance Cette communauté se reforme en 1805. Elle avait pour but l'éducation des jeunes demoiselles et comptait vers 1807 25 personnes recevant une centaine d'élèves externes et 40 à 50 pensionnaires. Elle hébergeait également des dames souhaitant se retirer du monde. La communauté quitte Quimper pour Quimperlé vers 1811 avant de revenir à Quimper vers 1847. En 1859 l'acquisition de nouveaux immeubles permet son agrandissement. En 1900 la communauté comptait près de 40 religieuses. La communauté avait en charge une maison de retraite, une école libre située rue bourg les bourgs et un pensionnat.

Culte catholique, Communautés religieuses, dossiers individuels des congrégations : Communauté des Sœurs Blanches, dites du Saint-Esprit ou de la Charité (1808-1826) , 1P/QUI/30

1P/QUI/30 , 1808-1826  

Etat statistique, correspondance La communauté des Filles du Saint-Esprit est fondée le 27 mars 1749. Les sœurs sont expulsées en 1794 mais reviennent vers 1800. Elles établissent leur nouvel communauté derrière la préfecture dans une maison louée à partir de septembre 1805. Elles fournissent le personnel du bureau de Bienfaisance, celui de l'Hôtel Dieu et à partir de 1839 la salle d'asile. L'établissement recevait les malades et les indigents et comptait 302 lits en 1902. La communauté des Filles du Saint Esprit comptait 49 religieuses en 1890.