1 - Les condittions préalables à l'installation de la Kriegsmarine en France
2 - L'occupation de la côte française en juin 1940
3 - La Kriegsmarine s'installe sur les côtes françaises
4 - Brest : base principale de la flotte allemande (1940-1942)
5 - La base sous-marine de Brest (1941-1944)
6 - La collaboration entre la Marine française et la Kriegsmarine
7 - Résistance et sabotages dans les bases navales
8 - La Kriegsmarine et la "forteresse de Brest"
9 - Le siège de Brest - la fin de la base navale allemande
Coffret Tome I : A-G Tome II : H-Z
- Chirurgien de la marine
- Amiral
SOMMAIRE - La forme du bâteau - La construction de la coque - Gréement, voilure et matelotage - Navigation et manoeuvre
- L'inscription maritime fut durant trois siècles l'institution de tutelle de la Marine de l'État sur les gens de mer français. Née pendant le règne de Louis XIV, au XVIIe siècle, l'Inscription maritime s'appela d'abord le « système des classes », à cause des « classes » ou contingents annuels de marins formés dans chaque localité littorale, qui étaient appelés à servir sur les vaisseaux du roi. Le système des classes, réformé à la fin du XVIIIe siècle, devient l'Inscription Maritime à partir de la Révolution française, en 1795. Navigants à la pêche ou au commerce, les « inscrits » (sur les registres de l'administration considérée) doivent effectuer leur service militaire dans la flotte de guerre et bénéficient d'un régime de prévoyance, régulièrement renforcé aux XIXe et XXe siècles. Cette « vieille institution » du monde maritime disparaît en 1965 lors de la réforme du service national.
François-Xavier SALUN aide-médecin de la marine né à Quimper le 3 décembre 1861: thèse imprimée pour le doctorat en médecine, 1887
- Essai de réhabilitation de Louis Billouart de Kervaségan, chevalier de Kerlérec, gentilhomme breton, capitaine des vaisseaux du roi, brigadier des armées du roi, dernier gouverneur français de la Louisiane.
- L'affaire de la Louisiane est une procédure extrajudiciaire, exclusivement écrite, relevant de la justice du roi. Il a paru nécessaire, pour l'étude de la question, de reproduire in-extenso, la plus grande partie des mémoires présentés par les antagonistes, ainsi que le volumineux rapport tendancieux des juges du Châtelet, qui a entraîné la condamnation du chevalier de Kerlérec.