Le mécénat, l'art de la communication, communication de l'art. VESCIA Remo Economica, Paris, 1987, 194 p. + annexes , GN/82

GN/82 , 1987  

SOMMAIRE I. Le rôle de l'Etat II. Pourquoi le mécénat ? III. Les médiateurs culturels : intermédiaires, publicitaires ou ambassadeurs de la culture ? IV. Les média, médiateurs indispensables du mécénat d'entreprise V. Le mécénat dans quelques grands pays industrialisés VI. Les fondations VII. Le mécénat français en 1987 VIII. Le goût du beau et l'amour de l'art pour une meilleure qualité de la vie IX. Liste non exhaustive de quelques grands projets de mécénat permanent

MALIVEL Jeanne , DTH/1145

DTH/1145  

JEANNE MALIVEL [ 1895-1926 ]

Née à Loudéac, dans une famille catholique de négociants ouverts à la culture, elle fait ses études secondaires à Rennes où, manifestement douée pour le dessin, elle suit les cours de Louise Gicquel, peintre.

A 19 ans elle prépare et réussit le concours d'entrée aux Beaux-Arts de Paris.

La guerre de 1914 interrompt ses études et l'oblige à revenir à Loudéac. Elle y est infirmière bénévole dans un hôpital auxiliaire où elle croque les blessés dans ses nombreux carnets de dessin.

Elle repasse brillamment le concours des Beaux Arts de Paris (4ème) en 1918, partage son atelier de Montparnasse avec une sculptrice et une maître verrier et participe à la Guilde Notre Dame et aux ateliers d'Art Sacré de Maurice Denis.

Elle passe de plus en plus temps à se documenter sur l'histoire et l'art celtiques.

Malgré d'intéressantes propositions à Paris, Jeanne choisit de retourner « vivre et travailler au pays» et est nommée professeur aux Beaux-Arts de Rennes en 1921.

Elle illustre l' Histoire de notre Bretagne de 74 bois gravés, dont certains sont exposés à New-York.

Elle fonde le mouvement artistique Ar Seiz Breur, avec lequel elle conçoit la salle de l'Osté pour l'exposition internationale des Arts Décoratifs de 1925 à Paris.

Pendant les 10 ans de sa courte carrière, Jeanne Malivel met son talent au service de la Bretagne.

Elle contribue au renouveau de l'expression artistique bretonne dans de nombreux domaines : gravure sur bois en première place, mais aussi mobilier, faïence, tissus, broderie, vitraux, peinture, aquarelle et dessin.

Ses compositions épurées sont à la fois modernes et chargées d'histoire, donnant une image forte des héros, saints, batailles, événements et personnages, ainsi que des paysages, costumes et objets.

Sensible à la cause des femmes, elle ambitionne de retenir au pays les jeunes bretonnes émigrant à Paris.

En développant un artisanat breton elle veut à la fois restaurer des savoir-faire locaux et introduire dans les foyers des objets beaux, utiles et de couleurs gaies.

Jeanne épouse Maurice Jung en 1925 et s'installe à Vitré.

L'année suivante, à 31 ans, enceinte et malade, elle décède à Rennes.

LE GUYADER Frédéric , DTH/239

DTH/239  

Voir aussi l'article de "Trésors d'archives, un document, une histoire" en cliquant sur le lien suivant :

Frédéric Le Guyader, dramaturge, poète et bibliothécaire (1847-1926)

Peintres, sculpteurs, maîtres-verriers , DTH/1024

DTH/1024  

Peintres, sculpteurs, maîtres verriers :

BELAY Pierre de BOUCHER Camille BOUGUENNEC Jean BRENNER Jacques BUFFET Bernard GOY Auguste HERLAND Emma LARC'HANTEC Yann LE BIHAN Jean Pierre LE TALEC Jean François MENARD Amédée MORVAN Marc NOEL Jules PEUZIAT Jean Marie PICLET Alain QUILLIVIC René ROBERT Charles ROEHEREAU Sylvie TANGUY Yves TOULHOAT Pierre VILLARD Albert WOOD Christopher

JACOB Max , DTH/204

DTH/204  

- Max Jacob, né le 12 juillet 1876 à Quimper et mort le 5 mars 1944 à Drancy, est un poète moderniste et romancier français.

Voir aussi l'article du "Grenier de la Mémoire" en cliquant sur le lien suivant :

Les ancêtres de Max Jacob à travers les fonds d'archives de la ville de Quimper

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