Culte catholique, Création et délimitation des circonscriptions ecclésiastiques (1809) , 1P/QUI/2
note, circulaire
note, circulaire
Correspondance, Curés et prêtres desservants, une pièce relative au décès en 1860 de l'abbé Dufeigna, curé de Saint Mathieu, 1 pièce relative à une réclamation du sonneur de cloche de la cathédrale (1834)
Correspondance générale, circulaires, extrait des délibérations du Conseil municipal
SOMMAIRE I. Les acteurs II. Identités III. Stratégies IV. Mutations
Budgets et comptes de 1880, 1882-1883, 1885, 1887, 1889, 1891-1892, 1896-1904, 1906
Correspondance, 1 pièce Les Surs du Bon Secours étaient surtout des gardes malades et prodiguaient également des soins. La communauté était située rue des Réguaires. Neuf religieuses composaient la communauté en 1902 dont trois Irlandaises et une Belge.
-Instructions officielles : circulaires, correspondance générale (An X-1813) -Fabrique cathédrale de Saint Corentin : correspondance (An XII-1846) -Fabrique de la paroisse Saint Mathieu : correspondance (1810,1811) -Fabrique de la chapelle du collège : correspondance (1862) -Fabrique de la paroisse de Locmaria : correspondance (1854, 1883-1899)
demande d'autorisation, acquisition d'un immeuble 3 rue des Réguaires : rapport, correspondance La Congrégation des Filles de la Retraite initialement constituée à Quimperlé en vertu d'une ordonnance royale du 17 janvier 1827 sollicite son transfert à Quimper en 1844. Elle se propose à cette date d'acquérir une propriété au 3, rue des Réguaires et appartenant à Monsieur de Kergaradec (emplacement présumé de la Poste actuelle). En 1858, la congrégation modifie ses statuts afin de pouvoir diriger deux écoles de jeunes filles. La congrégation déménage semble t'il ensuite pour s'établir rue Verdelet.
Etude comparative des recensements de 1861 et 1877, imprimé, Paris 1879
Exécution de la loi du 1er juillet 1901 sur les associations : demandes en autorisation des congrégations. -correspondance générale -Congrégation des Surs du Bon Secours : demande d'autorisation, rapport d'enquête -Prêtres de l'Immaculée conception de Saint-Méen : demande d'autorisation, rapport d'enquête -Congrégation des filles de la Sagesse de Saint Laurent sur Sèvre : demande d'autorisation, rapport d'enquête -Congrégation des filles de la Croix de Lambézellec
-Inventaire des biens et dépendances de l'Eglise Saint-Mathieu -Demande de reprise des biens mobiliers de l'Eglise Saint Mathieu -Dévolution des biens : Arrêtés de mise sous séquestre Fabrique Saint Corentin Mense curiale de Saint Corentin Chapitre cathédrale Mense épiscopale Mense paroissiale de Saint Corentin Fabrique de Saint Mathieu Fabrique de Locmaria Grand Séminaire diocésain
-Paroisse Saint-Corentin. - Affectation de la chapelle Saint-Louis pour le service du culte : décret, correspondance (1807, 1818) -Paroisse Saint-Corentin. - Affectation de la chapelle du Collège pour le service du culte : décret, correspondance (1807, 1818)
- demande d'autorisation : correspondance, compte rendu de réunion La société de Saint Vincent de Paul est fondée à Quimper afin de permettre le placement des apprentis indigents, une conférence d'hommes est reconnue dès 1841, une seconde de femmes en 1861.
Culte (sauf registres paroissiaux), instruction et assistance avant 1789
statuts, correspondance La Communauté des Filles de la Providence de Quimper, congrégation de l'Adoration perpétuelle est fondée par le chanoine Langrez en 1829. Cette congrégation est reconnue par ordonnance royale du 24 avril 1842. Elle a pour but d'élever des orphelines pauvres. Elle regroupait outre un orphelinat, situé rue de la Providence qui pouvait accueillir en 1902 jusqu'à 200 jeunes filles âgées de 7 à 20 ans (destinées à être placées comme servantes), une maison de retraite fondée en 1896 qui recevait des dames et des veuves moyennant une pension. 50 religieuses composaient la communauté en 1900.
Demande d'autorisation d'un établissement, 22, rue bourg les Bourgs.(service de la fondation Massé Petit Cuénot) : décret d'autorisation, rapport et extrait des décision du Conseil municipal, correspondance La Congrégation des Filles de la Sagesse de Saint Laurent sur Sèvres (Vendée) possédait un établissement au 22, rue bourg les bourgs. En 1902 puis en 1934 les religieuses déposèrent une demande d'autorisation afin d'être officiellement rattachées au service de la Fondation Jean Massé qu'elle servaient. Elles obtinrent un décret d'autorisation signé du président Le Brun le 24 juin 1934. Le nombre des membres de cette communauté était fixé à sept religieuses.
circulaire, correspondance, état statistique
Enquêtes, état statistique, correspondance La Congrégation des Surs de Saint Augustin est installée à Quimper depuis 1645. Elle était en charge dès cette époque de la gestion et du service de l'hôpital Sainte-Catherine à la suite d'un contrat passé entre la congrégation des dames hospitalières de la Miséricorde de Jésus et la communauté de ville de Quimper. En 1645, il n'y avait que deux religieuses, elles étaient sept vers 1664. Les religieuses financent elles même la construction de leur couvent hôpital. A la suite de la confiscation des biens nationaux dits de première origine en 1791, elles sont expulsées de Sainte Catherine. Leurs malades sont transférés dans le couvent des dames de la Retraite, aujourd'hui la Gendarmerie. Quant à l'ancien hôpital Sainte-Catherine, lui même, il va abriter des administrations révolutionnaires et héberger les services de la commune, ceux du Département et du District. (En 1800 le bâtiment devient le siège de la préfecture. L'essentiel du bâtiment ancien est démoli en 1909 lors de la reconstruction de la nouvelle préfecture au même emplacement). Vers 1804, les Augustines hospitalières sont de retour. Leur congrégation est autorisée en 1810. Elles sont en charge des malades civils et militaires mais aussi des enfants assistés. En avril 1831, l'administration prend une délibération tendant à faire diminuer le nombre des religieuses de la congrégation, celles ci refusent alors cette décision et préfèrent même quitter, en septembre ou octobre 1831, Quimper et leur hôpital hospice. La municipalité quimpéroise était en effet plus favorable aux filles du Saint Esprit car en 1814, les cinq filles de cette congrégation avaient en charge plus de 400 personnes tandis que les vingt deux surs augustines ne soignaient que 149 malades. La congrégation se relève en 1834 à l'hôpital Notre Dame de la Victoire à Cuburien près de Morlaix. A Quimper, les filles du Saint Esprit vont alors les remplacer d'abord dans l'urgence provisoirement et puis définitivement.
Etat statistique, correspondance Cette congrégation des Dames charitables ayant pour but l'instruction des filles s'établit vers 1810 dans l'ancienne maison des Capucins, propriété de Mlle de Saint Pern. Une douzaine de religieuses y vivent. La congrégation obtient un décret d'autorisation provisoire en 1806. En 1807 la communauté comptait 21 surs. Mais elle ne recevait à cette date qu'un dizaine d'élèves.
Etat statistique, correspondance Cette communauté se reforme en 1805. Elle avait pour but l'éducation des jeunes demoiselles et comptait vers 1807 25 personnes recevant une centaine d'élèves externes et 40 à 50 pensionnaires. Elle hébergeait également des dames souhaitant se retirer du monde. La communauté quitte Quimper pour Quimperlé vers 1811 avant de revenir à Quimper vers 1847. En 1859 l'acquisition de nouveaux immeubles permet son agrandissement. En 1900 la communauté comptait près de 40 religieuses. La communauté avait en charge une maison de retraite, une école libre située rue bourg les bourgs et un pensionnat.
Congrégation installée dans l'ancien couvent Saint Joseph : rapport, correspondance Les Jésuites réalisaient essentiellement de la prédication, délivraient de l'instruction et réalisaient des conférences. Mgr Dombideau, évêque de Quimper leur avait officiellement assigné pour mission de reprendre l'uvre missionnaire du Père Maunoir et les adorations, d'assurer les prédications des retraites d'hommes et de femmes à Lesneven et Quimperlé, d'assurer les exercices spirituels aux communautés. Leur résidence était l'ancien couvent de Saint Joseph. La communauté jésuite fut expulsée le 30 juin 1880 et dispersée le 23 septembre 1901. En 1843 les Jésuites étaient au nombre de six. Avant la dispersion la communauté comptait en 1900 une douzaine de membres.
Demande d'autorisation au nom d'un établissement à Quimper, 20, rue des Réguaires : rapport, correspondances La congrégation des Surs de la Miséricorde de Sees (Orne) possédait un établissement au 20, de la rue des Réguaires et déposa une demande d'autorisation en 1933.
Etats statistiques, rapports, correspondance Le but de la congrégation des dames Charitables était la délivrance d'une instruction gratuite aux jeunes filles et l'éducation des jeunes personnes. Elle était située route de Pont L'Abbé par suite d'une acquisition immobilière faite le 14 avril 1808. Vers 1810 la communauté regroupait 26 religieuses. La congrégation recevait théoriquement en pension des veuves d'officiers ou des femmes d'officiers qui en l'absence de leur mari souhaitaient s'y retirer. La congrégation n'étant pas autorisée par le gouvernement impérial et de nombreux travaux indispensables devant précéder l'ouverture réelle des classes, il n'est pas certain que des élèves ont effectivement été reçus par cette communauté qui disparaît rapidement.
Comptabilité des Fabriques : circulaires, instructions officielles
enquêtes statistiques et correspondance générale
extrait des délibérations du Conseil municipal, pétition, correspondance
Communauté des dames Cordelièresde Quimper : Mémoire concernant la situation des biens de la communauté établie à Quimper depuis 1633 et supprimée par arrêtés du conseil de 1742 et 1746.
- travaux, acquisition et aliénation de biens immobiliers: correspondance
Correspondances, notes
-Conseil de la Fabrique cathédrale de Saint Corentin (1810,1811) -Conseil de la Fabrique de la paroisse Saint Mathieu (1810,1811,1842) -Conseil de la Fabrique de la paroisse de Locmaria (1853)
- restitution à l'évêque des ouvrages se trouvant en double à la bibliothèque municipale : inventaire, correspondance
Budgets et comptes de 1813, 1832,1833, 1835, 1880-1885, 1887, 1889, 1891, 1986-1906
Etat statistique, correspondance La communauté des Filles du Saint-Esprit est fondée le 27 mars 1749. Les surs sont expulsées en 1794 mais reviennent vers 1800. Elles établissent leur nouvel communauté derrière la préfecture dans une maison louée à partir de septembre 1805. Elles fournissent le personnel du bureau de Bienfaisance, celui de l'Hôtel Dieu et à partir de 1839 la salle d'asile. L'établissement recevait les malades et les indigents et comptait 302 lits en 1902. La communauté des Filles du Saint Esprit comptait 49 religieuses en 1890.
Budgets et comptes de 1831-1834, 1883, 1885, 1887, 1889-1893, 1896-1904, 1906
correspondances dont : Paroisse Saint Corentin : -Construction des flèches de la cathédrale : correspondances (1854) - Restauration diverses : correspondance (1864,1866) -Refonte cloche du Beffroi : correspondances (1838-1840 ; 1883-1884) Paroisse Saint Mathieu : devis des travaux à exécuter (1833), correspondances (1810,1833, 1834, 1843,1846,1865) Paroisse Locmaria : correspondances (1838, 1865,18671869, 1883-1884)
Correspondance, projet de cahier des charges pour la construction d'un presbytère (1841), devis réparations à exécuter au presbytère de Saint-Corentin (1875)
Correspondances (1818,1851, 1854, 1856, 1861, 1884)
Inventaire des titres et papiers des dames Ursulines (1790), recensement nominatif des religieuses (1791), procès verbal d'élection de la Supérieure (1791), correspondances demande d'autorisation, rapport et état statistique La fondation de la communauté des Ursulines remonte au 23 juin 1623. Les 40 religieuses de la communauté sont expulsées en 1794. Elles seront néanmoins employées pour donner des soins dans les hôpitaux de Quimper. Elles se reforment en congrégation vers 1806 et instruisent les jeunes filles pauvres. En 1818, elles sont établies dans deux maisons contiguës de la rue Verdelet, achetées en 1805 et 1808. Vers la même époque elles reçoivent une cinquantaine d'élèves. Un autre groupe d'Ursulines dites " parisiennes " était également organisé et occupait une maison louée rue du Collège. Elles y recevaientt près de 100 élèves dont 80 payants. La communauté se compose traditionnellement de deux groupes de religieuses, les surs assermentées et les autres. La congrégation des Ursulines est finalement autorisée par ordonnance royale du 19 juillet 1826. En 1850 les Ursulines font l'acquisition de deux terrains appartenant à la ville de Quimper donnant sur la rue des Douves. Au 19ème siècle les religieuses enseignent également dans une école libre. En 1880 la communauté compte 29 religieuses. La communauté des Ursulines est finalement expulsée le 6 septembre 1905.
Correspondance
Acte de vente d'un bien immobilier passé entre la veuve Tardy (vendeur) et l'évêque de Quimper (acquéreur) destiné à abriter une école primaire libre dirigée par une congrégation religieuse
Communauté des dames Cordelières : Nomination d'un économe pour l'administration des biens, revenus, fruits et droits temporels du monastère des religieuses cordelières de Quimper: Extrait des délibérations de la communauté religieuse du 6 avril 1745, signée Auguste François Hannibal, évêque de Quimper.